Après de longues et fastidieuses recherches, Nikos Typounoff a découvert par hasard un lot de documents à propos des fameuses soucoupes volantes (OVNI pour les instances officielles). Il y était écrit que ces engins, développés très secrètement, ne transportaient pas des visiteurs en provenance d’un hypothétique ailleurs, mais en réalité des matériaux et des voyageurs, émigrants d’un genre très particulier, en partance vers cet ailleurs. Un personnage surnommé « le Vieux » aurait tout manigancé dans le plus grand secret et, sans la découverte de Nikos Typounoff, nous ne saurions rien de cette fabuleuse et extraordinaire aventure. Les messages émis par le VP seraient captés par les antennes paraboliques à l’écoute des bruits de l’espace, interceptés et décryptés par certains de ceux qui n’avaient pas eu le courage de partir et qui ont fini par accepter d’en dévoiler une partie à Nikos Typounoff. C’est ainsi qu’est née l’œuvre de cet auteur que nous vous présentons sur ce site. Son objectif principal est de vous dévoiler ces étranges aventures au fur et à mesure que les transcriptions de ces documents lui parviennent. Il a ainsi découvert qu’un mystérieux accident avait entraîné la perte de plusieurs couples d’animaux sélectionnés par leurs laboratoires et destinés à peupler leurs élevages pour une éventuelle utilisation au terme de leur voyage. Nikos est donc à la recherche des descendants de ces fameux unours dont il a retrouvé les traces au Brésil et en Europe et qu’il tente de vous présenter également. Ces histoires sont destinées à un public averti des choses de la vie, ouvert aux idées et situations peu ordinaires que l’on découvre lorsqu’on accepte d’écouter et observer attentivement et sans a priori tout ce qui nous entoure. Bon voyage aux lecteurs qui daigneront nous accompagner dans ces sagas déconcertantes de vérités.
CULTIVONS LA LIBERTÉ, L’ÉGALITÉ, L’AMITIÉ
À l'heure où des chefs d’industries envisagent de s’emparer de notre espace, réflèchissons aux conditions qu’ils nous imposeront. Qui vont-ils expédier là-haut ? Actuellement, ce sont uniquement des ingénieurs-pilotes d’essais ou desnouveaux riches avides de sensations. Est-ce la bonne solution ? C’est à vous d’y répondre. Comment vont-ils voyager ? Nous nous plaignons des sièges passagers des avions de ligne, mais les capsules de nos voyageurs de l’espace sont bien pires et les solutions envisagées fort aléatoires. Comment seront-ils ravitaillés ? Les menus dans les capsules spatiales n’ont de repas que le nom. Séchée, liophylisée, vaguement aromarisée, la nourriture n’a rien de gastronomique. Aucun ravitaillement en vol au-delà des orbites des satellites. Il faudra tout emporter ou fabriquer sur place en totale autonomie. Comment communiquer avec le sol ? Un message envoyé vers Saturne met dans les 80 minutes pour parvenir à destination, imaginez les conversations ! Et vers l’étoile la plus proche, il faudra plus de quatre années, en oubliant la déperdition due à la distance.
Les sondes appartenant à différents pays ont été capables de s’approcher et rester très près d’une comète, d’un astéroïde pour les observer, s’y poser, arracher quelques grammes de roche ou de poussières pour les ramener sur Terre. Chaque sonde a effectué son programme spécifique parmi toutes ces options et c’est déjà un véritable exploit avec nos moyens actuels. Des satellites de toutes sortes tournent en permanence autour de la Terre. Certains nous rendent de grands services, météo, GPS, communications, etc… d’autres servent à la recherche en général comme l’ISS dans lequel Thomas Pesquet en est déjà à son second séjour ou les télescopes spatiaux nommés Kepler ou Hubble. La Lune et Mars ont reçu les visites de robots qui se déplacent et revoient des images et d’autres informations sur les sols de ces astres. Vénus, aussi, a reçu des visites, mais son cœur brûlant d’amour a rapidement consumé ses soupirants. Les petits copains des environs de Jupiter et Saturne ont vu passer pas trop loin des sondes indiscrètes qui nous ont révélés des dessous plus ou moins glacials. Un plus curieux que les autres nous a même rapidement dévoilé sa jolie surface méthanisée. Enfin, le must, quelques sondes tentent de nous quitter définitivement. Les sondes Pionners ne sont plus très bavards mais ils ne devraient plus jamais revenir. Les sondes Voyagers sont au-delà de la limite admise de notre système solaire et fournissent encore quelques bribes d’information. New Horizon, la grosse dernière en a encore pour quelques années à traîner dans le fameux nuage de Oort formé de gros cailloux assez dispersés et donc difficiles à trouver.